Nos revendications

NOUS DEMANDONS

Pour l’ensemble des agents :

De revaloriser la valeur du point d’indice pour compenser la perte de pouvoir d’achat subie depuis des années.

De revaloriser toutes les grilles indiciaires et remettre de la cohérence entre les grades.

D’intégrer l’ensemble du régime indemnitaire dans le calcul des pensions de retraite.

Les ratios d’avancement de grade à 100 %.

Des conditions de travail garantissant l’égalité de traitement entre hommes femmes.

Le respect de la réglementation applicable aux personnes en situation de handicap.

Une réelle démarche Santé Qualité de Vie au Service et ce tout au long de la carrière.

Une véritable prise en compte des risques psycho-sociaux.

Pour les sapeurs-pompiers professionnels (SPP)

De reconnaitre notre métier comme profession à risque et la revalorisation de l’indemnité de feu au taux de 28 % minimum.

La suppression de la surcotisation (part salariale) de l’indemnité de feu.

Le développement des actions permettant d’optimiser la sécurité des sapeurs-pompiers face aux incivilités.

Qu’en cas de blessures graves ou d’acte de bravoure dans le cadre de leurs missions qu’ils bénéficient d’avancement d’échelons et/ou de grade à l’instar des policiers nationaux et municipaux.

Une réelle évolution de carrière pour les SPP reclassés en cas d’une inaptitude définitive quelle qu’en soit la raison.

De réviser le Congé pour Raison Opérationnel pour une meilleure prise en compte de la fin de carrière.

La portabilité́ des droits (prime de feu et bonification d’années) pour ceux qui quittent la profession avant 57 ans.

Le calcul au prorata temporis des années de bonifications et le déplafonnement du maximum de 5 années.

L’augmentation du nombre des postes ouverts aux concours et examens.

La reconnaissance des métiers de la profession dans les titres et diplômes grâce à des équivalences dans le répertoire des métiers.

Pour les SPP non-officiers

L’organisation annuelle des concours externes de caporal de SPP.

L’avancement au choix au grade de caporal-chef dès qu’ils remplissent les conditions statutaires.

L’organisation annuelle et à une date unique sur l’ensemble du territoire, d’un concours interne et d’un examen professionnel de sergent de SPP.

De supprimer les quotas de sous-officiers qui réduisent les possibilités de nominations.

La suppression de la condition de durée (7 ans) avant de percevoir la NBI.

Pour les SPP Officiers

La création d’une NBI de 16 points minimums pour les fonctions de chef de groupe, chef de salle ou d’officier de garde.

L’organisation annuelle des concours (internes – externe) et des examens professionnels pour les grades concernées

L’emploi des lieutenants de 2ème classe, en gardes postées, sur des fonctions opérationnelles et rappelle que la mission de chef de groupe constitue le cœur des fonctions opérationnelles des lieutenants.

La suppression de l’examen professionnel de commandant.

La création d’une NBI pour les fonctions de chef de colonne et de chef de site.

Le maintien des CAP de catégorie A et B à l’échelon national.

Exige la nomination des directeurs, directeurs adjoints et médecins chefs dans les départements où ces postes demeurent vacants par choix politique.

Le positionnement et la reconnaissance des cadres des SIS comme expert de la gestion de crise.

Pour les personnels Administratifs Techniques et Spécialisés (PATS)

L’avancement au choix aux grades C2 et C3 dès qu’ils remplissent les conditions statutaires.

Une reconnaissance de leur travail et de leurs emplois avec un véritable déroulement de carrière et des dispositifs de formation qualifiante.

La mise en place de concours et examens spécifiques aux métiers des SIS.

Des formations mieux adaptées aux spécificités des PATS des SIS.

Permettre aux PATS qui le souhaitent de pratiquer une activité physique pendant leur temps de travail dans le cadre de la Santé Qualité de Vie en Service (SQVS).

Concernant le fonctionnement des services d’incendie et de secours

Revaloriser de la dotation globale des Services d’Incendie et de Secours (SIS).

Le maintien des effectifs de garde et des potentiels opérationnels journaliers assurant la sécurité des citoyens et des intervenants.

Le maintien des armements réglementaires dans les engins opérationnels et le respect des effectifs minimums.

Exige que les centres de secours mixtes soient commandés par un SPP.

Refuse les gardes postées tenues par les SPV et le recrutement de SPV sous contrats qui sont faites en lieu et place de postes de SPP.

Exige qu’à formation égale, les SPP occupent en priorité des postes opérationnels.

Revendique que le double statut (SPP/SPV) ne soit pas un moyen pour contourner la législation sur le temps de travail.

Maintenir les SIS à l’échelon départemental et un service public de qualité et de proximité.

Que les SIS assument leurs missions, de la prise d’appel à la coordination des moyens, demeurant seuls gestionnaires de leurs moyens, en s’affranchissant de l’emprise des SAMU.

Service de Santé et de Secours Médical (SSSM)

Que le SSSM constitue l’expertise des S.I.S. en matière de secours d’urgence aux personnes.

Le développement des infirmiers de SPP en soutien des interventions SUAP.

Un cadre d’emploi des préparateurs en pharmacie, au sein de la filière sapeurs-pompiers.

Secours d’urgence aux personnes (S.U.A.P.)

Que le service public de secours d’urgence aux personnes ne se délègue pas au secteur marchand. Il doit rester la mission des sapeurs-pompiers et un service public gratuit.

Que le secours d’urgence aux personnes est un métier technique, nécessitant une reconnaissance des compétences des intervenants du SUAP.

Affirme que les SIS sont maîtres de leurs moyens de secours notamment dans le cadre de demandes de renforts du COS.

CTA – CODIS

Sommes favorables aux plateformes uniques de réception d’alerte à l’échelon départemental, à la condition que celles-ci restent un service public.

Demande que les personnels qui servent les Centres de Traitement de l’Alerte (CTA) – Centre Opérationnel Départemental d’Incendie et de Secours (CODIS) soient sous statut SPP.

Outre-mer

Réclame que le supplément « vie chère » soit identique pour toute l’outre-mer, aligné sur celui de la Réunion et pérennisé lors des départs en retraite.

Revendique des services d’incendies et de secours de même qualité que la métropole.